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my fuckin life !

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24 septembre 2006

scénario

Le jour de ma mort avait été déclenché par une habitude sans conséquences possibles et apparentes : Nathaniel était toujours avec moi. Non pas que je ne l’aimais pas. Au contraire.

J’avais décidé de mourir parce qu’un beau jour, à chaque fois que je le voyais, même si il était le seul à me comprendre, le seul qui me connaissait à peu près, j’ai commencé à l’éviter. La raison en était bien simple, chaque sourire me faisait tomber dans un état second horrible et incompréhensible, chaque parole réconfortante me faisait trembler comme un feuille sous une bourrasque, chaque rire me faisait brûler, succomber à l’inexprimable et inexprimé.

J’aurais souhaité que la pluie tombe comme pour me pleurer, j’aurais aimé que le vent hurle pour accentuer le dramatique de ce jour.

Il est ironique de penser que le jour ou je passais d’un monde à un autre, les oiseaux chantaient, le soleil brillait, la brise me caressait le visage comme pour me dire « ne t’en fais pas et restes avec nous ».

J’avais décidé de dire au revoir à mon meilleur ami avant de partir.

Il s’est avancé timidement, de l’air gêné que j’arborais toujours. Ça m’a fait bizarre de le voir faire la tête que je fais tout le temps.

« Pourquoi tu veux plus me voir ? »

Je n’ai rien dit.

Je n’avais rien à dire.

J’ai haussé les épaules. Il a eut l’air de comprendre ce que je ne pouvais en aucun cas résoudre.

« C’est pas évident ce genre de choses quand on est autiste, hein ? », avait-il l’air de dire.

J’en avais assez, je brûlais, je suffoquais, je tremblais, et, comme pour me donner le coup de grâce, il me prit dans ses bras, et murmura « moi aussi ».

Ce fut à ce moment là que tout sombra dans le vide. Nul besoin de cachets, mon souffle se bloqua. Une dernière larme coula sur mes joues. Noir total.

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23 septembre 2006

... I do love you

Je me lève. Ce n’est pas le matin.

Ce n’est pas encore le soir.

Le radio réveil indique 16h30.

Y’a comme un manque …

Y’a comme une valse dans ma tête.

J’ai peur.

Mais il n’y a rien d’effrayant.

Je me sens seule.

Mais les cris de ma famille retentissent.

J’ai froid.

Pourtant le chauffage est au maximum.

Je veux rentrer chez moi.

Mais je suis chez moi.

Il n’y a personne d’autre que moi dans la chambre.

Mais je sens une présence qui me fait frissonner.

Je vois ses cheveux qui volent au vent.

Ma main voudrait y glisser ses doigts

Ils se perdent dans le vide.

Des larmes de glaces coulent.

Mon échec me brûle le cœur

Inexorablement

Absurdement

Inexplicablement

Désespérément

Je t’aime.

Je le vois.

Il est surpris.

« Pourquoi ?»

Si seulement je le savais.

Envie de le frapper.

De lui arracher son beau et doux visage d’ange

De le tuer

Qu’il ne revienne jamais plus me torturer.

JE T’AIME !

Mon cœur hurle

Mais quel est ce sourire aussi doux et rassurant que sadique

JE T’AIME !

Vas t’en

Ne pars pas

Je ne veux pas t’oublier

Mais je souhaite que ta pensée ne me vienne plus.

Je t’aime …

23 septembre 2006

DELIRIUM 1 (TRAGIQUE)

Il me semble que si l’on me demandait d’écrire un livre sur ma vie en vacances, le résultat serait tellement atterrant que certains de mes proches prendraient leur tête dans leurs mains plus ou moins chétives et se demanderaient : « Mais comment donc ai-je fais pour rencontrer et me lier d’amitié avec une folle furieuse pareille ?? ».Tarée mentale conviendrait mieux au contexte à mon humble avis, mais il existe des personnes trop altruistes et trop correctes pour utiliser ce genre de termes …

D’autres admirables amies, à qui je dois ma survie en temps que tarée mentale affirmée sur cette pauvre petite planète qui n’en avait absolument pas besoin de cela en plus de tout le mal qu’elle endure déjà me demanderaient : « Camille, n’as-tu véritablement aucune autre préoccupation dans ta vie de tous les jours ? » tout en s’effondrant de rire sur mes bavures. Je leur répondrait simplement : « Non, ô mes très chères amies, non vraiment, car, voyez-vous, sans l’alcool, sans vous, ni mes cousines, je ne suis rien »… Nous partirions ensuite les mains dans les mains, comme des héroïnes de sitcoms plus stupides que moi (et Dieu sait bien qu’ il est dur de m’égaler dans pareille discipline), avec nos accoutrements étranges et nos éclats de rires sous les regards courroucés des français et françaises moyens (vous savez, ces gens qui ont l’étrange habitude de se promener une baguette de pain sous le bras, un béret basque enfoncé sur la tête – à la basque, cela s’entend…- et le nez tout rouge à force d’avoir bu, collés devant leur écran à regarder Zidane marquer ou Jean Pierre Foucault annoncer à Ginette qu’elle vient de gagner un total de cent mille euros – et là même qu’on est très content pour Ginette qu’elle se soit souvenu du nom du chien de Oui-Oui ) venus admirer le coucher de soleil sur Paris-Plage…Nous nous enfuirions, le sourire aux lèvres et siffloterions une certaine chanson paillarde débutant comme ceci « On m’a donné cent sous … ».

Si je concevais la création d’un tel ouvrage, il faudrait bien commencer par le début … Je commencerais donc par le petit déjeuner banal d’une journée tout aussi banale…

Il est en moyenne neuf heures du matin, j’ai été logiquement réveillée par mon sauvageon de frangin pratiquant son rituel de jedi avant de partir à l’école (si vous voulez une idée de l’effet que cela peut produire, « tantannez » la marche impériale très fort juste à côté de la chambre de votre frère/sœur/père/mère/conjoint/colocataire/voisin quand celui-ci/ ceux-ci y dorment et constatez…).

J’extirpe du placard un paquet de spécial K, comme tous les matins banalement banaux… Je m’assied lourdement sur une chaise qui supporte miraculeusement mon poids, et je verse ces choses que l’on a l’habitude d’appeler céréales (même si tout le monde sait que les céréales c’est les trucs comme le blé l’avoine, le seigle, le sésame et tout et tout …) dans un bol dont la circonférence doit approximer les vingt centimètres et le volume les cent centimètres cube…  Les flocons de je -ne - sais - trop - quoi - exactement  tombent dans une quantité avoisinant les 100grammes auxquels j’ajoute cent cinquante de lait. Les inscriptions du paquet blanc (principalement) parlent de comment avoir un corps de rêve, mon esprit me souffle que cela mène à l’anorexie, ma tête endormie ne réagit pas et ma main renverse un peu de lait sur la vieille table de la cuisine…Le rôle de ma main dans cette phase est simple : elle doit amener lait et flocons à ma bouche lamentablement ouverte pendant que mes yeux ne prêtent attention qu’aux instructions de Pablo, le coach péruvien de la marque de céréales, pour devenir une femme accomplie (c’est-à-dire une créature ayant le privilège de pouvoir oser porter un bikini sur la plage et qui attirera tous les gens pas recommandables par ses déhanchements provocateurs)… Revenons-en à ma bouche lamentablement ouverte dans le vide incertain, ayant totalement oublié ce qu’elle était chargée d’attendre et d’ingurgiter… Ma main lui ramène une bouchée (comme le pizzaïolo enfourne une fournée dans le four), celle-ci se referme rapidement sur la mixture moitié spécial K/ moitié lactée, pour la couper, la déchirer et la broyer successivement avec les incisives, les canines, sans oublier les molaires...

JE CONTINUE OU PAS ? REPONDEZ !!!

23 septembre 2006

LE CAUCHEMAR D’UNE JEUNE FILLE ORDINAIRE

Ne me blâmez pas au sujet du titre, il est tout à fait approprié ; j’explique : cela c’est passé de façon si prompte et si inattendue, que cela s’est effacé comme un mauvais rêve après l’horreur du moment.

En effet, en ce pâle jour de fin de juillet à Bondi beach, située sur la côte de Sydney, Australie, mes frère et sœur jouant au sumotoris, j’admirais les surfeurs surmonter de monstrueuses vagues comme si elles n’étaient qu’une masse d’onde pure à l’abri des féroces monstres marins, qui, pourtant y résidaient bien.

L’un de ces maîtres de la glisse m’avait particulièrement tapé dans l’œil. Grand, blond, bien formé (malgré sa combinaison de plongée, car l’eau était alors à onze degrés celsus), il avait une classe sans mesure …

Je vis ensuite arriver un individu dont le plus juste adjectif que l’on aurait pu lui attribuer était, passez moi de la grossièreté, « tappette ».

Voici pourquoi.

Le godelureau en question portait des immenses lunettes de mouche au montures roses, des boucles d’oreilles mauves, un sac à ailes d’ange rose, un pantalon en jean moulant,des bracelets de toutes les couleurs, des ballerines rouges au pied, marchait en roulant ses fesses, avait une coiffure plus que féminine…

Le temps que je dévisage ce représentant du troisième sexe, le surfeur de mes rêves sortait de l’eau, un grand sourire au lèvres, et se dirigeait vers Mister Taffiole-en-chef, et commençait à lui faire la conversation. L’autre eut un sourire niais de jeune fille séduite, lui tomba dans les bras, et, (Grand Dieu !) lui roula un patin !

Celui qui avait été l’amour de ma vie durant quelques minutes ne sembla même pas contester la réaction de l’énergumène…

Je restai là, pantoise devant tant d’injustice : le beau gosse de mes rêves était atteint de pédérastie profonde.

22 août 2006

return from australia

salut les gens je reviens d'australie ^^, je suis passée 2 jours à singapour avant c'était trop cool !!

je crois qu'il y a trop de choses a dire sur ces vacances paradisiaque, les beaux gosses tapettes, les japonais qui prenaient mon frere pour un australien et se faisaient prendre en photo avec lui mdr ... les tim-tams (des biscuits trop bons lol)la bonne musique des années 70-80 lol, les sushis, sydney :3, (on était dans la plus grande tour de la ville à l'hotel ... ),l'opéra ... les maillots de bain bob léponge PTDR xD... les bretelles de soutifs à fleurs ou à tete d'hello kitty ...

rien ne vaut quelques photos lol

DSC_0293no comment lol ...

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22 juillet 2006

cambridge my love !!!

bonjour les gens je reviens de Cambridge, UK ou j ai passe deux semaines de folie (I love beer thanx to Sinsemilia alias Manuel mdr ;) )... C etait enorme je sais pas par ou commencer ... la traumatisation de marc qui a vu deux femmes ROTER (rololoooooooooo !!!) l' arrivee chaotique la victoire des italiens au rugby ??? T-T Zidane mais qu est ce que tu nous a foutu ??! Super leopard ??? le complexe de bob l eponge ? la visite de Londres ? les double-cheeseburgers ? les CDs trop pas chers ? le pestacle de gad elmaleh ? le magasin de musique ? le STARBUCKS Oo ?? les boîtes de nuit ? superman ptdr (et moi qui traduisais : Clark tu vas mourir !!! autrefois tu m as vole mes cheveux source de seduction mais aujourd hui je vais te prendre les tiens, ainsi que ton beau justaucorps que tu as breveté pour que personne n ai le meme mdr ) ? Marie-Constance et ses trois soeurs Marie-Céline, Marie-Clémence et Marie-Céline ? les capsules d Elena ???le cookie geant pour l anniversaire de Chris (man, it was the greatest cookie I had ever seen and tasted)... le punting rate ?

je pense que des photos valent mieux que des pages et des pages de recit ... Peut etre arriverais je un jour a tout rediger lol... je vais vous en mettre quelques unes ici et toutes dans un album

profitez bien de vos vacances les gars !!!

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21 juin 2006

marie jeanne

bon alors un peu comme anarchy forever, ceci est issu de mes délires les plus profond mdr ...img052

Marie Jeanne gamine

C'était presque ma frangine

Marie Jeanne ado,

S'est fait enculer par un salaud

Mal fourni, mal bâti

Quitté par sa "chérie"

Marie Jeanne, jupe ras du cul

Attirait tous les mecs de la rue

Marie Jeanne la rebelle

Celle qui aux voyous roulait des pelles

Marie Jeanne révoltée

Sur laquelle ses parents ont tappé

Marie Jeanne desesperée

Que son amour avait engrossée

Marie Jeanne avortée

Sans remords, sans regrets

Marie Jeanne la shootée

Avec la drogue du même nom

Elle appelait ça sa "communion"

Marie Jeanne, narcissique emportée

Par son double de fumée

Marie Jeanne a fini par se jeter

Du troisième étage du lycée

Marie Jeanne celle qui osa

Faire ce que je ne fis pas

Marie Jeanne celle qui hurla

Avant de s'écraser comme une pauv' merde

Marie Jeanne sur le béton qui la tua,

Offrit un spectacle à vous flanquer la gerbe

Marie-Jeanne-couche-toi-là, allongée sous les lilas

Marie Jeanne, sauf le respect qu'on te doit

Certains ont pris ta mort pour un gros doigt

Enfoncé là où je pense:

A savoir dans le trou du cul de la France

Marie Jeanne sous les lilas

Marie Jeanne l'énorme bras

Enfoncé dans l'arrière train de notre patrie

Et de celui qui règne sur notre bête pays

Marie Jeanne partie rejoindre la Sainte Vierge

A laquelle on enlevait le dernier "i"

Antithèse ou paradoxe, comme des cornichons , on en a ri

Blasphème ou pas, pour toi on lève notre bras

Qui tant de fois l'administration insulta

Marie Jeanne, notre patronne

Celle qui, dans tout les sens du terme, a été bien bonne.

Celui ou celle qui a la force de lire ça je l'embrasse et je l'aime mdr ... j'espère que j'en aurais pas définitivement choqué certains lol ...

21 juin 2006

mes petits délires lol

alors je sais pas trop quoi raconter today mais je viens de me souvenir de mon délire quand j'avais faim y'a un an de cela mdr ...

En fait j'attendais mon burger (miam lol) et y'avait un écureuil tout mignon qui sautait partout ... chou à en crever ^^...

m'enfin bon j'étais affamée et voilà t'il pas qu' un serveur donne une banane au fameux rongeur ...

J'ai donc décidé que c'était quinze mille fois mieux d'être un écureuil, qu'on sautait de branche en branche, qu'on nous nourrissait gratos et qu'on allait pas au bahut ...

bon apres on a pas mal de prédateurs et on peut pas bouffer de burgers lol ^^

20 juin 2006

révisions brevet

photo_4521malheur à vous qui croyiez en avoir fini avec ces infâmes devoirs et autres persécutions quotidiennement pratiquées par ces monstres communément appelés d'un immense euphémisme, à savoir " professeurs".

Oui, malheur à vous, pauvres élèves de troisième car voici qu'arrivent, plus terribles que jamais, tellement terribles que l'on ose à peine les nommer : le brevet (ou BEPC) et ses révisions préparatoires...

Des heures et des heures en plus de travail alors que, soyons clairs, la seule chose que vous espériez faire pendant ces deux bonnes semaines, c'était vous dorer la moêle ou bailler aux corneilles ... Eh bien non, M. le ministre de l'éducation et papa-maman en ont décidé autrement: au lieu de regarder franigin et frangine partir "taffer comme des bêtes" leurs soustractions à virgules, leurs divisions et leur conjugaison, vous réviserez le français, les maths et l'histoire de notre beau pays : la france -_______- """

si je vous informe de tout cela, c'est que j'étais bien aise de pouvoir me dire que l' on se ferait un bonne expo avec ma friend héloïse, mais comme on est en troisième : pas question--> taff ...

enfin bon, cela ne nous a pas empêcher de jouer à soul calibur 2 avec Axel XD enfin moi d'essayer de tapper sur une espèce de gorille humanisée MDR ...

et héloïse de me montrer le bordel dans sa chambre, ses cochons d'Inde et ses massues ...

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19 juin 2006

ma garde robe rock n' roll

alors je vais vous présenter l'évolution de ma garde robe rock XD, oui, j'ai que ça à foutre lol ...

décembre                 janvier                 mai                juin

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non ... ne riez pas lol

si vous regardez bien vous pouvez aussi voir l'évolution de mon acné et de mes coupes de tifs XD

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